Dodzi Kokoroko, ministre de l’Environnement, des Ressources forestières, de la Protection côtière et du Changement climatique, entend donner une nouvelle impulsion à son département. Il a annoncé la suppression de 6 postes de contrôle ainsi qu’une restructuration globale du réseau national des points de contrôle.
Cette décision, entérinée par un arrêté signé le 12 novembre 2025, vise à concentrer les ressources humaines, techniques et logistiques sur les zones les plus stratégiques du pays, afin de renforcer l’encadrement et d’améliorer l’efficacité de la surveillance environnementale.
Selon la note officielle, cette mesure s’inscrit dans une démarche d’optimisation opérationnelle : il s’agit d’assurer une couverture nationale plus cohérente, d’utiliser de manière plus rationnelle les moyens disponibles et de répondre efficacement aux défis liés à la gestion durable des ressources naturelles, à la protection des écosystèmes et à la lutte contre les effets du changement climatique.
Sur les vingt-quatre postes de contrôle existants, six seront donc supprimés.
« Les postes de contrôle maintenus sont implantés dans les zones présentant les enjeux les plus importants et permettant une meilleure couverture territoriale », précise le ministre dans son communiqué.
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