Le gouvernement togolais durcit le ton face aux dégradations répétées de l’éclairage public, souvent causées par des accidents de la circulation. Désormais, tout automobiliste reconnu responsable de la destruction d’un lampadaire ou de tout autre ouvrage public devra payer la totalité des frais de réparation.
La sanction est claire : plus question de se soustraire à ses responsabilités. Les contrevenants devront s’acquitter de ces frais, soit directement, soit par l’intermédiaire de leur assurance.
Cette mesure s’inscrit dans la volonté des autorités de freiner l’incivisme routier, de responsabiliser les conducteurs et de préserver les infrastructures publiques.
L’éclairage public est jugé essentiel, non seulement pour la sécurité routière, mais aussi pour le confort et le bien-être des citoyens.
Sa détérioration, fréquente dans plusieurs quartiers de Lomé et d’autres localités, plonge souvent les populations dans l’obscurité et accroît les risques d’accidents et d’insécurité.
Parallèlement, le gouvernement a lancé une campagne de sensibilisation accompagnée de contrôles inopinés sur les routes. Objectif : réduire les comportements dangereux au volant et prévenir les accidents qui coûtent cher à la collectivité.
Avec cette nouvelle sanction, les autorités espèrent responsabiliser davantage les usagers de la route et mettre fin aux dégâts récurrents qui entravent le bon fonctionnement des services publics.
…éclairage public…
