Vivace Group met en place une usine de production de matériaux de construction en aluminium. Située sur la Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA), cette nouvelle unité a pour projet, la transformation locale des matières premières et la création d’emplois durables.

La cérémonie a été présidée par le Président de l’Assemblée nationale, Kodjo Sévon-Tépé Adedzé, en présence de plusieurs personnalités politiques et économiques. Ce projet s’inscrit dans les festivités célébrant le 65e anniversaire de l’indépendance du Togo.

Bâtie sur une superficie de 30 000 m², l’usine Vivace Group a pour objectif de produire 10 000 tonnes de profilés d’aluminium par an. Elle prévoit également la création de 600 emplois directs, contribuant ainsi à la réduction du chômage et à la valorisation des compétences locales.

La ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’Investissement, Manuella Santos, a souligné que ce projet incarne la vision du gouvernement de renforcer la souveraineté économique du pays par la transformation locale des matières premières.

« Ce projet incarne une vision du développement où l’industrie devient un levier pour créer des opportunités concrètes, valoriser la compétence locale et renforcer notre souveraineté économique. C’est en transformant les matières premières sur place que nous allons bâtir une prospérité partagée », a-t-elle ajouté.

Vivace Group engagé pour la qualité

Le responsable de Vivace Group, Luo Weivong, a affirmé l’engagement de l’entreprise à maintenir des standards élevés en matière de qualité et de respect de l’environnement. Il a précisé que l’usine intégrera des technologies de production avancées et adoptera des pratiques respectueuses de l’environnement pour assurer une croissance industrielle durable.

Cette inauguration s’inscrit dans une dynamique plus large de développement industriel. La PIA, qui accueille désormais 22 unités industrielles, devient un pôle stratégique pour l’industrialisation du Togo, attirant des investissements et favorisant la création d’emplois.

En parallèle, le président de l’Assemblée nationale a lancé les travaux de construction de l’usine Africa Textile Management Services (ATMS), dédiée à la transformation du coton local. Cette unité, dont la construction devrait être achevée dans 18 mois, renforcera la filière textile togolaise et contribuera à la diversification du secteur industriel.

Un fonctionnaire de la Présidence du Bénin est sous mandat de dépôt depuis février 2025. Il est accusé de blanchiment de capitaux et d’abus de fonction.

Ce lundi, il a comparu devant la Criet. Il est accusé d’avoir bloqué des financements pour la Garde Républicaine.

Plusieurs contrats sont en suspens à cause de lui. Il lui est aussi reproché d’avoir demandé une commission de 20 % sur des marchés publics.

Le fonctionnaire de la Présidence nie les faits

Le prévenu a nié toutes les accusations. Il parle d’un complot contre lui. Il affirme n’avoir jamais entravé les demandes de la Garde Républicaine. Concernant les 20 %, il dit que c’était une plaisanterie.

La Criet a renvoyé l’affaire au 28 avril 2025. Le procès suscite beaucoup d’attention.

Le projet de formation de courte durée s’étend désormais à tout le Togo. Le gouvernement lance un recrutement pour former et insérer des jeunes togolais, avec un accent particulier sur les groupes vulnérables. Cette initiative a été annoncée par le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage (METFPA) dans un communiqué récent.

Formation gratuite pour les jeunes

Les jeunes retenus seront formés dans des entreprises ou des centres de formation pour des périodes de 2 à 4 mois, selon le métier choisi. Un total de 175 places est disponible.

Conditions d’admission :

• Âge compris entre 18 et 45 ans
• Disponibilité et motivation pour suivre la formation, sur place ou ailleurs
• Engagement à suivre la les modules jusqu’à la fin
• Un projet professionnel ou une idée de projet dans le métier choisi
• Engagement à pratiquer le métier et s’installer dans les 3 mois suivant la formation

Dossiers de candidature :

Les candidats doivent soumettre :

• Une lettre de motivation précisant le métier choisi
• Un CV détaillé avec deux références
• Un résumé du projet professionnel lié au métier choisi (1 à 2 pages)
• Une copie non légalisée de l’acte de naissance ou équivalent
• Une copie non légalisée du diplôme ou titre professionnel (si applicable)

Le dépôt des candidatures est gratuit et aucun paiement n’est requis pour l’étude du dossier. Les candidatures doivent être envoyées aux bureaux des Inspections régionales de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (IRETFP) à Lomé, Tsévié, Kpalimé, Atakpamé, Sokodé, Kara et Dapaong.

Horaires de dépôt :

• Du 17 mars au 31 mars 2025
• Jours ouvrables : 8 h 30 à 11 h 30 et 15 h 00 à 17 h 00

Sélection des candidats :

La sélection se fera en deux étapes :

1. Présélection sur étude de dossier
2. Sélection définitive après entretien individuel

Gilbert Bawara s’est adressé aux candidats admis au concours général de recrutement des fonctionnaires de l’administration publique, session du 26 février 2022. Le ministre de la Réforme du service public, du Travail et du Dialogue social, a invité ces derniers à prendre fonction au plus tard le lundi 31 mars 2025 à 7h00.

Dans un communiqué signé par le ministre Gilbert Bawara le 19 mars 2024, les nouveaux agents sont invités à consulter la liste de leurs affectations sur le site officiel du ministère (www.fonctionpublique.gouv.tg) ou à se rendre dans les lieux dédiés.

Ceux affectés à Lomé doivent se rendre au ministère de la Réforme du service public, tandis que ceux envoyés en région peuvent récupérer leurs affectations dans les directions régionales du Travail et des Lois sociales de Tsévié, Atakpamé, Sokodé, Kara et Dapaong.

Gilbert Bawara sanctionne toute absence

Le ministère met en garde contre toute absence à la prise de fonction. Les candidats qui ne rejoindront pas leur poste dans les délais impartis seront considérés comme ayant abandonné leur emploi et seront remplacés conformément à la réglementation en vigueur.

Ce recrutement, initié il y a trois ans, s’inscrit dans la politique de renforcement des effectifs de l’administration publique togolaise. Avec ces nouvelles intégrations, le gouvernement espère améliorer la qualité du service public à travers le pays.

Le Président de la République Faure Essozimna Gnassingbé a procédé à la nomination de plusieurs préfets, dans le cadre d’un décret pris lors du Conseil des Ministres du mercredi 22 janvier 2025. Ce décret, le n°2025-010/PR, marque la désignation de neuf (09) nouveaux préfets sur proposition du ministre de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la chefferie coutumière.

Les personnes nommées sont :

• Ouro-Gouroungou Horoumila, nommé préfet de Tône.
• Le Colonel Bonfoh FARE, désigné préfet de la Kozah.
• Tchimbiandja Yendoukoua, nommé préfet de Tchaoudjo.
• Ekpé Kodjo Agbeko Noel, nommé préfet de l’Ogou.
• Gadewa Mawouna, nommé préfet de Zio.
• Tinaka Wediabalo Koffi, nommé préfet d’Agoè-Nyivé.
• Agbodan Kossivi, nommé préfet du Golfe.
• Le Lieutenant-colonel Assiah Hodabalo, nommé préfet de Bassar.
• Toyi Kokou, nommé préfet de l’Akébou.

Ces nouvelles nominations s’inscrivent dans une dynamique de renouvellement des responsables administratifs, afin de renforcer la gestion locale et de promouvoir une administration de proximité dans les différentes régions du pays.

Le ministre de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la chefferie coutumière, à l’origine de ces propositions, souligne l’importance de ces postes pour l’accompagnement des politiques de développement à l’échelle locale.