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Politique

Gabon: Investiture d’Oligui Nguema le 3 mai, voici la liste très sélecte des présidents invités…

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Oligui Nguema
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Le président Brice Clotaire Oligui Nguema, élu le 12 avril dernier avec 94,85 % des voix va prêter serment ce samedi 3 mai 2025 à Libreville. L’événement se tient au stade de l’amitié d’Angondjé, dans la périphérie nord de la capitale, en présence de plusieurs chefs d’Etats.

Pour l’occasion, plus d’une dizaine de chefs d’État africains ont confirmé leur présence. Parmi eux figurent les présidents Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée équatoriale), Denis Sassou Nguesso (Congo), Mahamat Idriss Déby Itno (Tchad) et Faustin-Archange Touadéra (Centrafrique). Le président Umaro Sissoco Embaló (Guinée-Bissau), proche allié d’Oligui Nguema, sera aussi présent.

D’autres dirigeants du continent comme Azali Assoumani (Comores), Évariste Ndayishimiye (Burundi), John Dramani Mahama (Ghana) et William Ruto (Kenya) feront également le déplacement. Le Maroc et l’Algérie seront représentés par des délégations officielles.

Oligui Nguema élargie la liste

À l’international, des pays comme la Chine, Israël et le Japon ont prévu d’envoyer des représentants. La France, quant à elle, sera représentée par Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l’Europe, envoyé par le président Emmanuel Macron.

Cette cérémonie marque un moment important pour le Gabon, qui entre dans une nouvelle phase politique.

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Faits divers

Burkina-Faso: Traoré sous pression, la rue se mobilise ce 30 avril

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Burkina-Faso
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À Ouagadougou (Burkina-Faso), l’heure est à la mobilisation. Ce mercredi 30 avril 2025, des partisans du régime militaire ont prévu de se rassembler à la place de la Révolution. L’objectif est d’afficher leur soutien au capitaine Ibrahim Traoré, dans un climat politique tendu marqué par des soupçons de coup d’État et des tensions diplomatiques croissantes.

À l’initiative de la Coordination nationale de la veille citoyenne (CNAVC), plusieurs organisations de la société civile proches du pouvoir appellent les Burkinabè à se mobiliser « massivement » pour défendre ce qu’elles qualifient de combat pour la souveraineté nationale.

« Les menaces ne passent plus. Pour atteindre le président Ibrahim Traoré, il faut d’abord marcher sur le peuple burkinabè », a déclaré Ghislain Dabiré, porte-parole de la CNAVC, à l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Tentative de déstabilisation au Burkina-Faso

Ce rassemblement au Burkina-Faso intervient quelques jours après l’arrestation d’une dizaine de militaires, accusés d’avoir voulu renverser le régime.

Les autorités au Burkina-Faso pointent une manœuvre coordonnée depuis l’étranger, notamment la Côte d’Ivoire, soupçonnée d’abriter des figures impliquées dans des tentatives de déstabilisation. Des accusations que le gouvernement ivoirien juge infondées.

« J’attends encore les preuves de la dernière accusation », a réagi Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement ivoirien.

Mais la marche de mercredi ne vise pas seulement à réagir aux événements internes. Elle entend aussi répondre à certaines critiques internationales. Au cœur de la colère : des propos attribués au général américain Michael Langley, chef de l’US Africom.

Selon le ministère burkinabè des Affaires étrangères, il aurait mis en cause l’utilisation des ressources minières du pays et sa coopération avec la Chine, suggérant qu’elles profiteraient plus au régime qu’à la population. Une sortie jugée inacceptable par les autorités de Ouagadougou.

En écho à cette dénonciation, un sit-in devant l’ambassade des États-Unis est également prévu, pour « rejeter les propos inexactes » du général Langley et réaffirmer l’indépendance des choix stratégiques du Burkina Faso.

« Le 30 avril, nous allons prouver que le Burkina Faso n’est plus un État vassal. Il décide désormais librement de son avenir », affirme Ghislain Dabiré.

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Politique

Diplomatie: Le Togo et l’Angola renforcent leur relation pour la paix en RDC

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Angola
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Le Togo et l’Angola travaillent à renforcer les relations bilatérales et coordonner les efforts diplomatiques en faveur de la paix dans l’Est de la RDC. Le ministre angolais des Relations extérieures, Tété Antonio, a effectué une visite de travail à Lomé, ce jeudi 24 avril 2025 dans ce cadre.

Le chef de la diplomatie angolaise a été reçu par son homologue togolais, le Professeur Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur. Au cœur des échanges, la situation sécuritaire en République démocratique du Congo, marquée par des tensions persistantes dans la région Est.

Les deux ministres ont fait le point sur les efforts de médiation en cours, menés par l’Angola, et sur l’état d’avancement de la feuille de route adoptée lors du sommet conjoint CAE–SADC du 8 février 2025. Ils ont également abordé les récentes évolutions sur le terrain et les perspectives d’un règlement pacifique et durable du conflit.

Le Togo et l’Angola en bonne relation

Cette visite s’inscrit dans la dynamique de rapprochement entre les deux pays, quelques jours seulement après la visite du président Faure Essozimna Gnassingbé à Luanda, le 16 avril dernier. Elle confirme l’excellence des relations bilatérales et la volonté partagée de contribuer à la stabilité du continent.

Pour rappel, le Président Faure Gnassingbé a été désigné par l’Union africaine comme médiateur officiel dans la crise en RDC, succédant ainsi à son homologue angolais João Lourenço, qui avait lui aussi mené des efforts diplomatiques significatifs.

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Politique

Doha : les discussions entre Kinshasa et le M23 interrompues sans accord

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Doha
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Les discussions entamées à Doha entre le gouvernement congolais et les rebelles du M23 ont pris fin brutalement ce mardi 22 avril. La délégation du mouvement armé, dirigée par Bertrand Bisimwa, a quitté le Qatar pour rejoindre Goma. Aucun accord n’a été trouvé, malgré plusieurs échanges directs entre les deux parties.

Des sources proches des pourparlers évoquent un dialogue miné par des divergences majeures. Le projet de communiqué conjoint, censé ouvrir la voie à un règlement pacifique, a cristallisé les tensions.

Le gouvernement aurait exigé que le communiqué final fasse référence à la récente rencontre entre Félix Tshisekedi et Paul Kagame. Le M23 s’y serait opposé, affirmant que ses revendications sont indépendantes du contentieux entre Kinshasa et Kigali.

Difficile mission pour Doha

Autre point de friction, Kinshasa souhaitait un engagement commun pour le désarmement des groupes armés. Le M23 aurait refusé, accusant le gouvernement de pactiser avec certaines milices. Le retrait des FARDC et des Wazalendo de Walikale, exigé par les rebelles, a également envenimé les débats.

Enfin, le M23 reproche à Kinshasa d’avoir ignoré ses conditions préalables, remises à la médiation qatarie. Le mouvement conditionne toute reprise des négociations à la présence de « délégués décisionnaires » et non de « simples experts au mandat flou ».

La médiation de Doha au Qatar, pour l’instant silencieuse, pourrait être amenée à jouer un rôle crucial dans la relance éventuelle du dialogue.

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Politique

Togo/municipales 2025 : Winner Ahotu, figure montante du NET, rallume la flamme électorale chez les jeunes

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municipales
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Alors que les préparatifs des élections municipales se poursuivent au Togo, la révision des listes électorales, ouverte depuis le 7 avril, est prévue pour s’chever ce mardi 23 avril.
Dans ce contexte, Winner Ahotu, président des jeunes du Nouvel Engagement Togolais (NET) Golfe 5 et vice-président national des jeunes du parti, se distingue par son engagement sur le terrain pour mobiliser les électeurs.

Jeune leader dynamique, Winner Ahotu multiplie les initiatives pour inciter les Togolais à s’inscrire sur les listes électorales. Conseiller spécial de l’adjoint au maire Elias Ahotu, il met à profit ses réseaux et son influence pour sensibiliser la population, notamment les jeunes, à l’importance de cette étape cruciale avant le scrutin.

Municipales, sensibilisation des jeunes

« Il ne suffit pas de se plaindre, il faut participer. S’inscrire, c’est le premier acte de changement. Nous, les jeunes, devons prendre notre place dans les décisions locales. C’est pourquoi je suis partout, de quartier en quartier, pour faire passer ce message », dit-il.

Son expérience en matière de campagne électorale n’est plus à démontrer. En 2019, il avait occupé le poste de directeur de campagne adjoint d’Elias Ahotu, jouant un rôle déterminant dans la bonne tenue des opérations.

La révision des listes électorales, encadrée par un décret présidentiel du 1er avril, vise à actualiser le fichier électoral pour garantir un scrutin transparent.

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a déjà formé les opérateurs de saisie chargés de superviser cette phase, dont l’issue permettra de connaître le nombre exact d’électeurs inscrits.

Rappelons que lors de la dernière révision, plus de 4,2 millions de Togolais s’étaient enregistrés. Avec des acteurs comme Winner Ahotu en première ligne, les autorités espèrent une participation massive, gage de légitimité pour les futures élections municipales dont la date reste à préciser.

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Faits divers

Togo/Révision électorale : 2 agents exclus pour escroquerie dans la zone 3

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Révision électorale
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Au Togo, la révision électorale se poursuit à l’intérieur du pays. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) continue également sa mission de transparence et d’intégrité dans le cadre du processus de révision des listes électorales. Deux agents, Komi Able, agent technique (F90042) affecté au Hub de Kara, et Marcus Koboyoo Palanga, opérateur de saisie (OP14832) affecté à la CELI de la Binah, ont été formellement exclus du processus dans la zone 3.

Cette décision, rendue publique ce week-end en pleine révision électorale, fait suite aux résultats d’enquêtes internes menées par les services techniques de la CENI, qui ont conclu à des actes d’escroquerie et de complicité d’escroquerie de la part des deux agents.

Dans une note officielle, le président de la CENI, Dago Yabre, a instruit les responsables concernés notamment le président de la sous-commission des opérations électorales, le coordonnateur du Centre national de traitement des données (CNTD), la SNEDAI (Société nationale d’édition des documents administratifs et d’identification) et le président de la CELI de la Binah de veiller scrupuleusement à l’exécution immédiate de la mesure d’exclusion.

« Il est impératif de préserver l’intégrité du processus électoral. Toute dérive, aussi minime soit-elle, sera sanctionnée avec rigueur », a rappelé un membre du bureau exécutif de la CENI sous couvert d’anonymat.

Cette exclusion en pleine révision électorale n’est pas un cas isolé. Il y a quelques semaines, un autre agent, Atayevi Kadja, opérateur de saisie, avait déjà été écarté pour comportement indélicat et insubordination.

Révision électorale sans tolérance

La CENI semble ainsi vouloir marquer une rupture claire avec toute forme de légèreté ou de mauvaise foi dans la gestion du processus électoral, dans un contexte national où la crédibilité des opérations électorales reste un enjeu crucial.

Transparence, discipline et responsabilité sont désormais les mots d’ordre qui encadrent le travail des agents impliqués dans la révision des listes.
Cette décision vient renforcer le message selon lequel aucune tolérance ne sera accordée aux manquements, quel que soit le niveau de responsabilité des individus concernés.

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