Connect with us

Politique

Togo : Les municipales fixées au 10 juillet 2025, les femmes à l’honneur

Published

on

municipales
Partager

Au Togo, les élections municipales sont prévues pour le 10 juillet prochain sur l’ensemble du territoire national. Le gouvernement a annoncé ce mercredi 30 avril 2025 Cette échéance électorale vise à renouveler les conseils municipaux du pays, dans le cadre du processus démocratique en cours.

Conformément au calendrier électoral de ces municipales dévoilé, la campagne électorale se déroulera du 24 juin au 8 juillet 2025, soit une période de deux semaines durant laquelle les candidats et partis politiques pourront aller à la rencontre des électeurs pour présenter leurs programmes.

Conditions de ces municipales

En ce qui concerne les conditions de candidature, le montant du cautionnement a été fixé à 50 000 FCFA par candidat. Toutefois, dans une volonté de promouvoir la participation des femmes à la vie politique, le gouvernement a décidé de réduire de moitié ce montant pour les candidates, qui devront ainsi s’acquitter de 25 000 FCFA.

Cette mesure incitative s’inscrit dans une politique plus large de promotion de l’égalité des genres et de renforcement de la représentativité féminine dans les instances locales de gouvernance.

Les autorités invitent l’ensemble des citoyens et acteurs politiques à se mobiliser pour assurer le bon déroulement de ces élections dans un climat de paix et de transparence.

Continue Reading
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Faits divers

Togo/dernières minutes : Le vendredi 2 mai déclaré férié, chômé et payé

Published

on

Togo
Partager

Bonne nouvelle pour les travailleurs au Togo. Le gouvernement a annoncé ce mercredi 30 avril 2025, que la journée du vendredi 2 mai 2025 sera fériée, chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national. L’annonce est faite à travers un communiqué officiel.

Cette décision intervient dans un contexte de célébrations successives qui ont marqué le pays ces derniers jours.

Une commémoration au Togo

En effet, le pays vient de commémorer dans la ferveur populaire le 65ème anniversaire de son indépendance, célébré le dimanche 27 avril dernier. Une atmosphère de joie et de festivités qui a rassemblé les Togolais autour des valeurs de liberté et de souveraineté nationale.

À cela s’ajoute la traditionnelle fête du Travail, célébrée le 1er mai. Conscient de la fatigue accumulée et dans un esprit de continuité festive, l’exécutif a donc choisi d’accorder une journée supplémentaire de repos aux travailleurs.

En clair, les Togolais bénéficieront d’un long week-end prolongé, du jeudi 1er au dimanche 4 mai 2025, de quoi ravir les salariés du public comme du privé, et leur permettre de se ressourcer pleinement.

Continue Reading

Politique

Gabon: Investiture d’Oligui Nguema le 3 mai, voici la liste très sélecte des présidents invités…

Published

on

Oligui Nguema
Partager

Le président Brice Clotaire Oligui Nguema, élu le 12 avril dernier avec 94,85 % des voix va prêter serment ce samedi 3 mai 2025 à Libreville. L’événement se tient au stade de l’amitié d’Angondjé, dans la périphérie nord de la capitale, en présence de plusieurs chefs d’Etats.

Pour l’occasion, plus d’une dizaine de chefs d’État africains ont confirmé leur présence. Parmi eux figurent les présidents Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée équatoriale), Denis Sassou Nguesso (Congo), Mahamat Idriss Déby Itno (Tchad) et Faustin-Archange Touadéra (Centrafrique). Le président Umaro Sissoco Embaló (Guinée-Bissau), proche allié d’Oligui Nguema, sera aussi présent.

D’autres dirigeants du continent comme Azali Assoumani (Comores), Évariste Ndayishimiye (Burundi), John Dramani Mahama (Ghana) et William Ruto (Kenya) feront également le déplacement. Le Maroc et l’Algérie seront représentés par des délégations officielles.

Oligui Nguema élargie la liste

À l’international, des pays comme la Chine, Israël et le Japon ont prévu d’envoyer des représentants. La France, quant à elle, sera représentée par Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l’Europe, envoyé par le président Emmanuel Macron.

Cette cérémonie marque un moment important pour le Gabon, qui entre dans une nouvelle phase politique.

Continue Reading

Faits divers

Burkina-Faso: Traoré sous pression, la rue se mobilise ce 30 avril

Published

on

Burkina-Faso
Partager

À Ouagadougou (Burkina-Faso), l’heure est à la mobilisation. Ce mercredi 30 avril 2025, des partisans du régime militaire ont prévu de se rassembler à la place de la Révolution. L’objectif est d’afficher leur soutien au capitaine Ibrahim Traoré, dans un climat politique tendu marqué par des soupçons de coup d’État et des tensions diplomatiques croissantes.

À l’initiative de la Coordination nationale de la veille citoyenne (CNAVC), plusieurs organisations de la société civile proches du pouvoir appellent les Burkinabè à se mobiliser « massivement » pour défendre ce qu’elles qualifient de combat pour la souveraineté nationale.

« Les menaces ne passent plus. Pour atteindre le président Ibrahim Traoré, il faut d’abord marcher sur le peuple burkinabè », a déclaré Ghislain Dabiré, porte-parole de la CNAVC, à l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Tentative de déstabilisation au Burkina-Faso

Ce rassemblement au Burkina-Faso intervient quelques jours après l’arrestation d’une dizaine de militaires, accusés d’avoir voulu renverser le régime.

Les autorités au Burkina-Faso pointent une manœuvre coordonnée depuis l’étranger, notamment la Côte d’Ivoire, soupçonnée d’abriter des figures impliquées dans des tentatives de déstabilisation. Des accusations que le gouvernement ivoirien juge infondées.

« J’attends encore les preuves de la dernière accusation », a réagi Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement ivoirien.

Mais la marche de mercredi ne vise pas seulement à réagir aux événements internes. Elle entend aussi répondre à certaines critiques internationales. Au cœur de la colère : des propos attribués au général américain Michael Langley, chef de l’US Africom.

Selon le ministère burkinabè des Affaires étrangères, il aurait mis en cause l’utilisation des ressources minières du pays et sa coopération avec la Chine, suggérant qu’elles profiteraient plus au régime qu’à la population. Une sortie jugée inacceptable par les autorités de Ouagadougou.

En écho à cette dénonciation, un sit-in devant l’ambassade des États-Unis est également prévu, pour « rejeter les propos inexactes » du général Langley et réaffirmer l’indépendance des choix stratégiques du Burkina Faso.

« Le 30 avril, nous allons prouver que le Burkina Faso n’est plus un État vassal. Il décide désormais librement de son avenir », affirme Ghislain Dabiré.

Continue Reading

Politique

Diplomatie: Le Togo et l’Angola renforcent leur relation pour la paix en RDC

Published

on

Angola
Partager

Le Togo et l’Angola travaillent à renforcer les relations bilatérales et coordonner les efforts diplomatiques en faveur de la paix dans l’Est de la RDC. Le ministre angolais des Relations extérieures, Tété Antonio, a effectué une visite de travail à Lomé, ce jeudi 24 avril 2025 dans ce cadre.

Le chef de la diplomatie angolaise a été reçu par son homologue togolais, le Professeur Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur. Au cœur des échanges, la situation sécuritaire en République démocratique du Congo, marquée par des tensions persistantes dans la région Est.

Les deux ministres ont fait le point sur les efforts de médiation en cours, menés par l’Angola, et sur l’état d’avancement de la feuille de route adoptée lors du sommet conjoint CAE–SADC du 8 février 2025. Ils ont également abordé les récentes évolutions sur le terrain et les perspectives d’un règlement pacifique et durable du conflit.

Le Togo et l’Angola en bonne relation

Cette visite s’inscrit dans la dynamique de rapprochement entre les deux pays, quelques jours seulement après la visite du président Faure Essozimna Gnassingbé à Luanda, le 16 avril dernier. Elle confirme l’excellence des relations bilatérales et la volonté partagée de contribuer à la stabilité du continent.

Pour rappel, le Président Faure Gnassingbé a été désigné par l’Union africaine comme médiateur officiel dans la crise en RDC, succédant ainsi à son homologue angolais João Lourenço, qui avait lui aussi mené des efforts diplomatiques significatifs.

Continue Reading

Politique

Doha : les discussions entre Kinshasa et le M23 interrompues sans accord

Published

on

Doha
Partager

Les discussions entamées à Doha entre le gouvernement congolais et les rebelles du M23 ont pris fin brutalement ce mardi 22 avril. La délégation du mouvement armé, dirigée par Bertrand Bisimwa, a quitté le Qatar pour rejoindre Goma. Aucun accord n’a été trouvé, malgré plusieurs échanges directs entre les deux parties.

Des sources proches des pourparlers évoquent un dialogue miné par des divergences majeures. Le projet de communiqué conjoint, censé ouvrir la voie à un règlement pacifique, a cristallisé les tensions.

Le gouvernement aurait exigé que le communiqué final fasse référence à la récente rencontre entre Félix Tshisekedi et Paul Kagame. Le M23 s’y serait opposé, affirmant que ses revendications sont indépendantes du contentieux entre Kinshasa et Kigali.

Difficile mission pour Doha

Autre point de friction, Kinshasa souhaitait un engagement commun pour le désarmement des groupes armés. Le M23 aurait refusé, accusant le gouvernement de pactiser avec certaines milices. Le retrait des FARDC et des Wazalendo de Walikale, exigé par les rebelles, a également envenimé les débats.

Enfin, le M23 reproche à Kinshasa d’avoir ignoré ses conditions préalables, remises à la médiation qatarie. Le mouvement conditionne toute reprise des négociations à la présence de « délégués décisionnaires » et non de « simples experts au mandat flou ».

La médiation de Doha au Qatar, pour l’instant silencieuse, pourrait être amenée à jouer un rôle crucial dans la relance éventuelle du dialogue.

Continue Reading

Trending