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Faits divers

Togo/43 élèves exclus : Les décisions prises à la rencontre avec le DRE

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Le 20 mars 2025, une délégation de l’Union togolaise des associations des parents d’élèves (UTAPE), Comité régional des Plateaux-Ouest, a rencontré le directeur régional de l’éducation (DRE-PLO).

L’objectif était de discuter des conséquences de l’exclusion de 43 élèves, responsables de grossesses parmi leurs camarades. Cette décision a été prise par la DRE-PLO pour lutter contre ce fléau grandissant.

Lors de la rencontre, le directeur régional a présenté des chiffres alarmants. En 2023-2024, 383 grossesses ont été enregistrées parmi les élèves filles de la région.

Dès le premier trimestre de l’année 2024-2025, 308 cas ont déjà été signalés. Malgré des campagnes de sensibilisation, le phénomène continue d’augmenter.

Face à cette situation, la DRE-PLO a pris des mesures strictes pour dissuader de tels comportements.

Situation inquiétante des élèves

L’UTAPE/PLO soutient la décision, mais s’inquiète des conséquences sur les exclus. L’association a demandé que ces élèves soient réorientés vers d’autres établissements pour poursuivre leur scolarité.

Elle a également plaidé pour qu’ils puissent passer les examens de fin d’année. Le directeur régional a pris en compte cette demande et promet d’étudier des solutions.

L’UTAPE/PLO a réaffirmé son engagement contre les grossesses en milieu scolaire. Elle a appelé à la mobilisation de tous les acteurs éducatifs.

Parents, enseignants, élèves et autorités doivent intensifier les actions de prévention. L’association propose aussi des mesures alternatives et inclusives pour allier discipline et droit à l’éducation.

Le président du Comité régional de l’UTAPE/PLO, DJREKE K. Mensah, a souligné l’importance d’un environnement scolaire sûr pour chaque élève.

L’UTAPE/PLO continue de travailler pour garantir un avenir scolaire sans obstacles.

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Faits divers

Burkina-Faso: Traoré sous pression, la rue se mobilise ce 30 avril

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Burkina-Faso
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À Ouagadougou (Burkina-Faso), l’heure est à la mobilisation. Ce mercredi 30 avril 2025, des partisans du régime militaire ont prévu de se rassembler à la place de la Révolution. L’objectif est d’afficher leur soutien au capitaine Ibrahim Traoré, dans un climat politique tendu marqué par des soupçons de coup d’État et des tensions diplomatiques croissantes.

À l’initiative de la Coordination nationale de la veille citoyenne (CNAVC), plusieurs organisations de la société civile proches du pouvoir appellent les Burkinabè à se mobiliser « massivement » pour défendre ce qu’elles qualifient de combat pour la souveraineté nationale.

« Les menaces ne passent plus. Pour atteindre le président Ibrahim Traoré, il faut d’abord marcher sur le peuple burkinabè », a déclaré Ghislain Dabiré, porte-parole de la CNAVC, à l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Tentative de déstabilisation au Burkina-Faso

Ce rassemblement au Burkina-Faso intervient quelques jours après l’arrestation d’une dizaine de militaires, accusés d’avoir voulu renverser le régime.

Les autorités au Burkina-Faso pointent une manœuvre coordonnée depuis l’étranger, notamment la Côte d’Ivoire, soupçonnée d’abriter des figures impliquées dans des tentatives de déstabilisation. Des accusations que le gouvernement ivoirien juge infondées.

« J’attends encore les preuves de la dernière accusation », a réagi Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement ivoirien.

Mais la marche de mercredi ne vise pas seulement à réagir aux événements internes. Elle entend aussi répondre à certaines critiques internationales. Au cœur de la colère : des propos attribués au général américain Michael Langley, chef de l’US Africom.

Selon le ministère burkinabè des Affaires étrangères, il aurait mis en cause l’utilisation des ressources minières du pays et sa coopération avec la Chine, suggérant qu’elles profiteraient plus au régime qu’à la population. Une sortie jugée inacceptable par les autorités de Ouagadougou.

En écho à cette dénonciation, un sit-in devant l’ambassade des États-Unis est également prévu, pour « rejeter les propos inexactes » du général Langley et réaffirmer l’indépendance des choix stratégiques du Burkina Faso.

« Le 30 avril, nous allons prouver que le Burkina Faso n’est plus un État vassal. Il décide désormais librement de son avenir », affirme Ghislain Dabiré.

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Economie

Transactions suspectes : Un fils de Macky Sall convoqué dans une affaire de 125 milliards

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L’affaire des 125 milliards de francs CFA de transactions jugées douteuses, révélée par la CENTIF, progresse. Selon L’Observateur du lundi 28 avril, Amadou Sall, fils aîné de l’ancien président Macky Sall, a été convoqué par le Parquet financier. Il est attendu le 7 mai pour s’expliquer sur une opération portant sur 10 milliards de francs CFA.

Une partie de cette somme, sous forme de bons de caisse, a transité par le compte de la société Woodrose Investment Ltd, domicilié à la banque NSIA et géré par Ndèye Seynabou Ndiaye, également visée dans l’enquête.

Cette dernière a donné procuration à Amadou Sall pour gérer le compte, ce qui pourrait indiquer qu’il en est le bénéficiaire économique.

Transactions avec traçabilité

L’entourage d’Amadou Sall avance que l’origine de ces fonds provient de la vente d’un terrain offert par son père, une transaction qui a été conduite par le député-maire Farba Ngom.

Cela explique les mouvements financiers observés entre les comptes de sa société et celui de Woodrose Investment Ltd.

Toujours selon le quotidien, Amadou Ba et Karim Mbacké sont également convoqués dans le cadre de ce dossier.

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Faits divers

Trafics humains : des togolais exploités dans une fausse filière vers le Canada

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Un vaste réseau de trafics humains a été démantelé en Côte d’Ivoire, grâce à une série de descentes policières coordonnées avec le soutien d’Interpol. Triste reflet d’un phénomène grandissant en Afrique de l’Ouest. Au total, 33 ressortissants ouest-africains, dont plusieurs togolais, ont été secourus après avoir été piégés par des recruteurs véreux leur promettant des emplois fictifs au Canada.

Les victimes, originaires du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana et du Togo, ont été attirées par des offres alléchantes de migration professionnelle. Selon un communiqué publié mardi par Interpol, ces personnes ont versé jusqu’à 9 000 dollars chacune pour obtenir des documents et assurances de départ. Mais une fois en Côte d’Ivoire, elles ont été réduites au silence, exploitées, et contraintes à participer activement à l’escroquerie.

Le stratagème du réseau reposait sur une mise en scène élaborée : les victimes étaient forcées de fréquenter des lieux huppés hôtels, restaurants, centres commerciaux pour alimenter des récits fictifs de réussite au Canada, diffusés ensuite sur les réseaux sociaux. Le but : tromper d’autres jeunes candidats à l’exil, en quête d’une vie meilleure à l’étranger.

« Les trafiquants allaient jusqu’à restreindre les communications avec les familles pour maintenir l’illusion. C’était une exploitation psychologique aussi bien que physique », indique Interpol.

Trafics humains, phénomène grandissant

L’affaire a éclaté en février dernier, après que le père de deux jeunes Ghanéens portés disparus a alerté les autorités locales. Une opération conjointe entre les forces de sécurité de la Côte d’Ivoire et du Ghana a alors permis d’identifier le lieu de détention et de mener à bien l’intervention

Youssouf Kouyaté, directeur général de la Police nationale de Côte d’Ivoire, a salué cette opération contre les trafics humains, comme un exemple de coopération régionale efficace. Il a également rendu hommage aux victimes pour leur courage et leur rôle décisif dans le démantèlement du réseau.

Les personnes libérées ont été prises en charge par une ONG spécialisée, qui leur fournit un soutien psychologique et une aide à la réinsertion.

l’Interpol a rappelé que ces trafics humains, type d’escroquerie, à mi-chemin entre traite humaine et cybercriminalité, gagne du terrain dans la région.

En 2024, plus de 300 arrestations liées à des réseaux similaires ont été enregistrées.

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Togo/Révision électorale : 2 agents exclus pour escroquerie dans la zone 3

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Révision électorale
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Au Togo, la révision électorale se poursuit à l’intérieur du pays. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) continue également sa mission de transparence et d’intégrité dans le cadre du processus de révision des listes électorales. Deux agents, Komi Able, agent technique (F90042) affecté au Hub de Kara, et Marcus Koboyoo Palanga, opérateur de saisie (OP14832) affecté à la CELI de la Binah, ont été formellement exclus du processus dans la zone 3.

Cette décision, rendue publique ce week-end en pleine révision électorale, fait suite aux résultats d’enquêtes internes menées par les services techniques de la CENI, qui ont conclu à des actes d’escroquerie et de complicité d’escroquerie de la part des deux agents.

Dans une note officielle, le président de la CENI, Dago Yabre, a instruit les responsables concernés notamment le président de la sous-commission des opérations électorales, le coordonnateur du Centre national de traitement des données (CNTD), la SNEDAI (Société nationale d’édition des documents administratifs et d’identification) et le président de la CELI de la Binah de veiller scrupuleusement à l’exécution immédiate de la mesure d’exclusion.

« Il est impératif de préserver l’intégrité du processus électoral. Toute dérive, aussi minime soit-elle, sera sanctionnée avec rigueur », a rappelé un membre du bureau exécutif de la CENI sous couvert d’anonymat.

Cette exclusion en pleine révision électorale n’est pas un cas isolé. Il y a quelques semaines, un autre agent, Atayevi Kadja, opérateur de saisie, avait déjà été écarté pour comportement indélicat et insubordination.

Révision électorale sans tolérance

La CENI semble ainsi vouloir marquer une rupture claire avec toute forme de légèreté ou de mauvaise foi dans la gestion du processus électoral, dans un contexte national où la crédibilité des opérations électorales reste un enjeu crucial.

Transparence, discipline et responsabilité sont désormais les mots d’ordre qui encadrent le travail des agents impliqués dans la révision des listes.
Cette décision vient renforcer le message selon lequel aucune tolérance ne sera accordée aux manquements, quel que soit le niveau de responsabilité des individus concernés.

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Faits divers

Togo: A la recherche d’une nouvelle génération de sous-officiers, un recrutement est lancé

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Un concours national de recrutement direct pour élèves sous-officiers d’active se tiendra le 28 juin 2025. Il offre une opportunité concrète aux jeunes Togolais de s’engager au service de la patrie. Le ministère des Armées du Togo lance cet appel solennel à la jeunesse dans un contexte régional marqué par des défis sécuritaires croissants.

Cette campagne de recrutement, ouverte aux candidats des deux sexes, s’inscrit dans la dynamique de modernisation et de rajeunissement des Forces armées togolaises (FAT). Elle vise à renforcer les capacités opérationnelles de l’institution militaire, tout en offrant aux jeunes citoyens un parcours structurant fondé sur la discipline, le mérite et l’honneur.

Le concours se déroulera simultanément sur deux sites : le camp Général Gnassingbé Eyadéma à Lomé et le lycée Kara, au nord du pays. Les candidats retenus intégreront l’École nationale des sous-officiers de Témédja (ENSO-T), prestigieux centre de formation militaire situé dans la région des Plateaux.

L’ENSO-T est reconnue pour former les cadres intermédiaires de l’armée, appelés à encadrer les unités sur le terrain, à faire preuve de leadership et à assumer des responsabilités opérationnelles.

Pour postuler, les les futurs sous-officiers doivent remplir plusieurs conditions strictes : être Togolais de naissance, âgés de 18 à 24 ans au 31 décembre 2025, titulaires du baccalauréat ou d’un diplôme équivalent, mesurer au moins 1,70 m (hommes) ou 1,65 m (femmes), être célibataires sans enfant, et médicalement aptes selon les normes en vigueur dans les forces armées.

Au-delà d’un simple concours, cette initiative incarne une volonté politique forte : celle d’impliquer davantage la jeunesse togolaise dans la défense nationale, à un moment où les menaces liées à l’extrémisme violent et aux instabilités transfrontalières se multiplient dans la sous-région.

Des sous-officiers, un engagement pour la paix et la sécurité

Le ministère des Armées rappelle que servir sous les drapeaux, c’est faire preuve de patriotisme, de rigueur et d’engagement envers la paix et la sécurité du Togo. Il invite donc les jeunes remplissant les critères à saisir cette opportunité pour devenir les piliers de la défense et de la stabilité nationales.

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