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Togo : Kokoroko transforme 13 CEG en lycées à cycle complet, Voici la liste…

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Le ministre des enseignements primaire et secondaire, Komla Dodzi Kokoroko vient de transformer 13 Collèges d’Enseignement Général (CEG) en lycées à cycle complet. Cette mesure, officialisée par un arrêté en date du 28 avril 2025, prend effet dès la rentrée scolaire 2025-2026. L’objectif de cette transformation est de permettre aux élèves de poursuivre leur parcours scolaire dans le même établissement, évitant ainsi les changements d’école entre le premier et le second cycle.

La mesure de Kokoroko s’inscrit dans le cadre de la politique du gouvernement. Celle d’améliorer l’accès à l’éducation secondaire.

Cette initiative vise également à réduire les inégalités d’accès à l’éducation dans les différentes régions du pays.

Liste des établissements sélectionnés par Kokoroko

Les CEG retenus pour cette mutation sont répartis dans toutes les Directions Régionales de l’Éducation (DRE) :

Région Grand Lomé : Le CEG Akato devient le Lycée Akato.

Région Maritime : Les CEG Wli, Atakpamède et Vo-Kponou sont respectivement transformés en Lycée Wli, Lycée Atakpamède et Lycée Vo-Kponou.

Région des Plateaux Est : Le CEG Glei devient le Lycée Glei 2.

Région des Plateaux Ouest : Les CEG Danyi Konda et Kpélé Adeta II deviennent les Lycée Danyi Konda et Lycée Kpélé Adeta II.

Région Centrale : Les CEG Kolowaré et Agbandaoudé sont désormais les Lycée Kolowaré et Lycée Agbandaoudé.

Région de la Kara : Les CEG Dimori et Katchamba sont transformés en Lycée Dimori et Lycée Katchamba.

Région des Savanes : Les CEG Nagnong et Kountoire deviennent les Lycée Nagnong et Lycée Kountoire.

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Bourses d’études au Maroc : candidatures ouvertes pour les élèves de terminale

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Des bourses d’études sont disponibles pour des apprenants togolais au Maroc. Elles sont destinées aux élèves actuellement en classe de terminale (toutes séries confondues) et titulaires du baccalauréat première partie (BAC I). Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a annoncé, ce mercredi 21 mai, l’ouverture des candidatures.

Ce programme de coopération entre le Togo et le Maroc vise à offrir aux étudiants méritants l’opportunité de poursuivre des études supérieures de qualité dans les établissements d’enseignement marocains, dans divers domaines de formation.

Bourses offertes par l’AMCI

Ces bourses, offertes par l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), concernent l’année universitaire 2025–2026. Elles s’adressent aux élèves togolais âgés de 23 ans au plus (nés en 2002) et ayant obtenu une mention Bien ou plus au BAC I, comme précisé dans le communiqué officiel.

Les candidats intéressés doivent préparer et déposer leur dossier complet au plus tard le vendredi 30 mai 2025 à 17h, auprès de la Direction des bourses et stages (DBS) à Lomé.

Pour plus de détails sur les conditions, la constitution du dossier et le processus de sélection, les élèves sont invités à consulter le portail dédié mis en place par le ministère.

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Ghana : Des armes dangereuses entre de mauvaises mains

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Le Ghana ne veut pas laisser les armes illégales prendre le contrôle des rues. Depuis quelques semaines, les autorités sont en alerte. Plusieurs opérations menées dans différentes régions du pays ont permis de saisir des armes à feu et des munitions en grande quantité.

Ces découvertes inquiètent, car elles montrent que des réseaux organisés sont en train de faire entrer des armes illégalement dans le pays, et de les distribuer à des groupes dangereux.

Au Ghana, les policiers ont fait des saisies impressionnantes dans les régions du Centre, du Nord, de l’Ouest et d’Ashanti.

À Asankare (Ashanti Sud), un simple sac abandonné dans un minibus contenait plusieurs types de munitions, des équipements paramilitaires, des objets utilisés dans des rituels et de la drogue.

À Savelugu (Nord), trois personnes ont été arrêtées avec un véritable petit arsenal, notamment fusils automatiques, pistolet, cartouches, chargeurs…

Dans l’Ouest, un jeune homme a été retrouvé avec un fusil mitrailleur SMG dans un bus. Il affirme que l’arme lui a été confiée par quelqu’un pour sa sécurité, mais les enquêteurs doutent de ses explications.

Le 16 mai, dans le Nord de la région Ashanti, deux autres hommes ont été arrêtés à moto avec un fusil et des munitions. Ils sont soupçonnés d’avoir participé à des attaques armées récentes.

Le Ghana, un pays stable mais en danger

Pendant longtemps, le Ghana était vu comme un pays stable et sûr en Afrique de l’Ouest. Mais ces récentes arrestations montrent qu’il n’est plus à l’abri de la prolifération des armes légères, un problème qui touche plusieurs pays voisins. Ces armes, souvent introduites clandestinement, sont utilisées par des groupes criminels ou violents qui menacent la sécurité des citoyens.

Les autorités veulent réagir vite. Le commissaire adjoint de police Joseph Hammond Nyaaba félicite les forces de l’ordre pour leur travail, mais il demande aussi la participation de tous les citoyens : « Nous devons travailler ensemble. Sans l’aide de la population, il sera difficile de mettre fin à ce fléau. »

Des mesures annoncées. Pour répondre à cette menace, le gouvernement ghanéen a promis des contrôles plus stricts aux frontières, un meilleur système de renseignement, des arrestations et des poursuites renforcées contre les trafiquants.

Pour les autorités ghanéennes, le défi est grand, et seule une mobilisation collective pourra freiner ce phénomène qui menace la paix et la sécurité du pays.

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Télécoms : le Togo devient un exemple en Afrique de l’Ouest

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Télécoms – À Lomé, la semaine dernière, une rencontre s’est tenue entre deux institutions clés du secteur des télécommunications en Afrique de l’Ouest. L’ARCEP Togo (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) a accueilli une délégation de son homologue malienne, l’AMRTP, venue apprendre, observer et s’inspirer.

Au programme : échanges de pratiques, discussions techniques et volonté partagée de faire progresser ensemble la qualité des services dans la sous-région.

Ce voyage d’étude en télécoms n’a rien d’anodin. Il s’inscrit dans une dynamique croissante de coopération Sud-Sud, où les pays africains unissent leurs forces pour bâtir des solutions adaptées à leurs contextes. Et dans ce domaine, le Togo est en train de se forger une solide réputation.

Depuis plusieurs années, l’ARCEP Togo a mis en place un Système de Management de la Qualité (SMQ) pour mieux organiser ses missions, suivre ses performances et s’améliorer en continu. Ce système a été certifié en 2023 et audité avec succès en 2024. Pour le Mali, cette expérience concrète représente un exemple utile et applicable.

Conduite par Abdoulaye Coulibaly, secrétaire exécutif de l’AMRTP, la délégation malienne a pu observer comment l’ARCEP planifie ses actions, implique ses équipes et garantit un haut niveau d’exigence. L’objectif est de renforcer la régulation pour garantir aux citoyens des services numériques fiables et de qualité.

Renforcer les liens pour des télécoms efficaces

Mais au-delà de la technique, cette rencontre a aussi été l’occasion de raviver un partenariat bilatéral entre les deux pays. Le Mali et le Togo souhaitent désormais aller plus loin. Leur accord de coopération va être renforcé pour faciliter la circulation des personnes, le partage de compétences et l’intégration numérique dans l’espace ouest-africain.

Ce geste du Mali, venu apprendre du Togo en matière de télécoms n’est pas isolé. D’autres pays de la région ont déjà entamé des démarches similaires. Preuve que l’expérience togolaise commence à faire école. Le pays côtier, longtemps discret sur la scène numérique africaine, s’affirme aujourd’hui comme un acteur clé de la transformation du secteur.

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