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Faits divers

Togo/dernières minutes : Le vendredi 2 mai déclaré férié, chômé et payé

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Togo
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Bonne nouvelle pour les travailleurs au Togo. Le gouvernement a annoncé ce mercredi 30 avril 2025, que la journée du vendredi 2 mai 2025 sera fériée, chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national. L’annonce est faite à travers un communiqué officiel.

Cette décision intervient dans un contexte de célébrations successives qui ont marqué le pays ces derniers jours.

Une commémoration au Togo

En effet, le pays vient de commémorer dans la ferveur populaire le 65ème anniversaire de son indépendance, célébré le dimanche 27 avril dernier. Une atmosphère de joie et de festivités qui a rassemblé les Togolais autour des valeurs de liberté et de souveraineté nationale.

À cela s’ajoute la traditionnelle fête du Travail, célébrée le 1er mai. Conscient de la fatigue accumulée et dans un esprit de continuité festive, l’exécutif a donc choisi d’accorder une journée supplémentaire de repos aux travailleurs.

En clair, les Togolais bénéficieront d’un long week-end prolongé, du jeudi 1er au dimanche 4 mai 2025, de quoi ravir les salariés du public comme du privé, et leur permettre de se ressourcer pleinement.

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Education

Ghana : Des armes dangereuses entre de mauvaises mains

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Ghana
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Le Ghana ne veut pas laisser les armes illégales prendre le contrôle des rues. Depuis quelques semaines, les autorités sont en alerte. Plusieurs opérations menées dans différentes régions du pays ont permis de saisir des armes à feu et des munitions en grande quantité.

Ces découvertes inquiètent, car elles montrent que des réseaux organisés sont en train de faire entrer des armes illégalement dans le pays, et de les distribuer à des groupes dangereux.

Au Ghana, les policiers ont fait des saisies impressionnantes dans les régions du Centre, du Nord, de l’Ouest et d’Ashanti.

À Asankare (Ashanti Sud), un simple sac abandonné dans un minibus contenait plusieurs types de munitions, des équipements paramilitaires, des objets utilisés dans des rituels et de la drogue.

À Savelugu (Nord), trois personnes ont été arrêtées avec un véritable petit arsenal, notamment fusils automatiques, pistolet, cartouches, chargeurs…

Dans l’Ouest, un jeune homme a été retrouvé avec un fusil mitrailleur SMG dans un bus. Il affirme que l’arme lui a été confiée par quelqu’un pour sa sécurité, mais les enquêteurs doutent de ses explications.

Le 16 mai, dans le Nord de la région Ashanti, deux autres hommes ont été arrêtés à moto avec un fusil et des munitions. Ils sont soupçonnés d’avoir participé à des attaques armées récentes.

Le Ghana, un pays stable mais en danger

Pendant longtemps, le Ghana était vu comme un pays stable et sûr en Afrique de l’Ouest. Mais ces récentes arrestations montrent qu’il n’est plus à l’abri de la prolifération des armes légères, un problème qui touche plusieurs pays voisins. Ces armes, souvent introduites clandestinement, sont utilisées par des groupes criminels ou violents qui menacent la sécurité des citoyens.

Les autorités veulent réagir vite. Le commissaire adjoint de police Joseph Hammond Nyaaba félicite les forces de l’ordre pour leur travail, mais il demande aussi la participation de tous les citoyens : « Nous devons travailler ensemble. Sans l’aide de la population, il sera difficile de mettre fin à ce fléau. »

Des mesures annoncées. Pour répondre à cette menace, le gouvernement ghanéen a promis des contrôles plus stricts aux frontières, un meilleur système de renseignement, des arrestations et des poursuites renforcées contre les trafiquants.

Pour les autorités ghanéennes, le défi est grand, et seule une mobilisation collective pourra freiner ce phénomène qui menace la paix et la sécurité du pays.

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Divertissement

Bonheur des populations : Le Togo 127e sur 147 pays en 2025, selon une étude

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Le Togo occupe la 127e place mondiale sur 147 pays évalués dans le World Happiness Report 2025, publié le 20 mars par les Nations unies. Ce classement le positionne parmi les pays les moins heureux d’Afrique et le dernier de la zone UEMOA.

Réalisée en partenariat avec Gallup World Poll et l’Université d’Oxford, cette étude annuelle mesure le bonheur des populations à travers plusieurs critères. Elle prend en compte le soutien social, le niveau de revenu, la santé, la liberté individuelle, la générosité et l’absence de corruption.

Un niveau de bonheur encore faible

Malgré des efforts économiques et quelques réformes sociales, le Togo peine à améliorer le bien-être général de sa population. Dans l’espace UEMOA, il se classe derrière la Côte d’Ivoire (98e mondial), le Sénégal (107e), le Niger (110e), le Burkina Faso (120e), le Bénin (121e) et le Mali (123e).

Ce classement reflète une réalité que vivent de nombreux Togolais, un accès limité à des services publics de qualité, un chômage élevé chez les jeunes, et un pouvoir d’achat souvent insuffisant. Autant de facteurs qui influencent directement le moral et la satisfaction de vie.

Le bonheur ne dépend pas que de l’argent

Le rapport 2025 souligne aussi un point intéressant : la taille des ménages joue un rôle important dans le bien-être. Les personnes vivant seules déclarent un niveau de bonheur plus faible, malgré parfois de meilleures conditions économiques. À l’inverse, les familles de taille moyenne (autour de quatre membres) rapportent des niveaux de satisfaction plus élevés, en raison de la solidarité et des liens sociaux plus forts.

Un défi à relever pour les autorités

Ce classement est un signal pour les responsables togolais. Il montre que le développement ne peut être mesuré uniquement à travers les chiffres économiques, mais aussi à travers la qualité de vie, les relations sociales et la confiance dans les institutions.

Pour espérer remonter dans les prochaines éditions du World Happiness Report, le Togo devra investir davantage dans le bien-être humain, en particulier pour les jeunes, les femmes et les familles vulnérables.

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Faits divers

Togo/Lomé : un fugitif ghanéen arrêté après 2 ans de traque

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Le fugitif Adinda Abdul Mujibu, ressortissant ghanéen et figure centrale d’une série de braquages violents à Accra, a été interpellé à Lomé. C’est après des mois de traque et de coopération policière régionale. Il a été remis aux autorités ghanéennes. L’extradition a eu lieu le 14 mai 2025, dans le cadre d’une opération conjointe menée sous la coordination d’Interpol.

Selon Icilomé, l’arrestation du fugitif Mujibu, également connu sous plusieurs alias, Rashid Bawa, Maxwell, Papa Rich, ou encore Dawa, est le fruit d’un partenariat actif entre les services de sécurité togolais et ghanéens, appuyé par Interpol.

Recherché depuis plus de deux ans, l’individu était au centre d’enquêtes liées à plusieurs attaques armées spectaculaires perpétrées entre 2022 et 2024 dans des quartiers résidentiels de haut standing d’Accra, notamment East Legon, Cantonments, Ridge et Airport Residential Area.

Repéré sur le sol togolais grâce à des renseignements transmis par Interpol Accra, le fugitif Mujibu a été arrêté le 10 janvier 2025 par les services de sécurité togolais. Il possédait à ce moment des pièces d’identité ghanéennes et togolaises, suggérant une tentative de brouiller sa trace au fil de sa cavale.

L’individu a été placé en garde à vue à Lomé, dans l’attente des démarches administratives nécessaires à son extradition. Celle-ci a été formellement validée le 12 mai, aboutissant à son transfert deux jours plus tard à la délégation de police ghanéenne venue spécialement par avion militaire pour le récupérer.

La remise du suspect s’est déroulée dans un cadre officiel, en présence de hauts responsables de la police togolaise, dont le Commissaire Principal ASI Elo Ani, ainsi que de membres de l’ambassade du Ghana au Togo. Cette étape marque un tournant dans la traque de l’un des criminels les plus recherchés du Ghana.

Le fugitif Mujibu arrêté, un soulagement

Selon la Commissaire Lydia Yaako Donkor, Directrice Générale du CID (Criminal Investigation Department) du Ghana, l’arrestation du fugitif Mujibu est un coup dur porté aux réseaux criminels opérant entre les deux pays. Un de ses complices présumés, Alidu Mazuk, avait déjà été arrêté à Accra en septembre 2024.

Les autorités ghanéennes ont remercié le Togo pour sa coopération exemplaire, soulignant l’importance de la collaboration transfrontalière face à la montée des crimes organisés.

« Cette arrestation démontre que la sous-région ne peut tolérer l’impunité, même au-delà des frontières », a déclaré la police ghanéenne.

Elle a par ailleurs renouvelé son appel à la population à faire preuve de vigilance et à signaler toute activité suspecte, rappelant que la sécurité est une responsabilité partagée.

Source : Icilomé

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Faits divers

Variole simienne : le Togo en état de vigilance après un 1er cas confirmé

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Le Togo vient d’enregistrer son tout premier cas confirmé de variole simienne, encore appelée Mpox. L’information a été rendue publique ce vendredi 16 mai 2025 à travers un communiqué officiel du Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, qui évoque une situation sous contrôle, mais appelle à une vigilance accrue de la population.

Selon les autorités sanitaires, la patiente est une femme de 22 ans, résidant dans le district sanitaire du Golfe, dans la région du Grand Lomé, actuellement hospitalisée dans un service de maladies infectieuses.

La variole simienne est une maladie virale et contagieuse, transmissible aussi bien de l’animal à l’homme que de personne à personne.

Elle se propage par contact direct avec des liquides biologiques, des lésions cutanées ou des muqueuses, ainsi que par des objets contaminés.

La transmission interhumaine est particulièrement préoccupante dans les contextes de proximité physique, notamment lors des rapports sexuels ou par les sécrétions respiratoires.

Symptômes de variole simienne

La variole simienne se manifeste par des symptômes initiaux de type grippal (fièvre, douleurs musculaires), suivis généralement d’éruptions cutanées. Si elle est détectée à temps, elle peut être prise en charge et guérie, mais dans certains cas, elle peut entraîner des complications graves.

Face à cette menace sanitaire, les autorités togolaises ont immédiatement déclenché une riposte coordonnée.

Le ministère indique avoir renforcé la surveillance épidémiologique, mis en place un système d’alerte précoce et mobilisé les structures de soins pour une prise en charge rapide des cas suspects.

Une campagne de sensibilisation est également lancée, avec des messages clairs sur les comportements à adopter pour limiter la propagation du virus.

Le gouvernement appelle à l’adoption stricte des mesures d’hygiène, notamment le lavage régulier des mains à l’eau et au savon, le port de masque en cas de toux ou d’éternuement, et l’évitement de tout contact avec des personnes présentant des symptômes ou ayant été exposées.

L’exécutif insiste également sur la nécessité de signaler rapidement tout cas suspect au personnel de santé, rappelant que la réussite de la riposte dépend de l’engagement collectif.

Le Mpox, bien que maîtrisable, reste une maladie à potentiel épidémique, et le pays ne peut se permettre une propagation incontrôlée.

Pour l’heure, aucune autre contamination n’a été détectée, mais les autorités appellent les citoyens à rester informés, vigilants et solidaires.

Joël D.

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Faits divers

Togo – Affaire Djarkpangan : les deux policiers recherchés ont été arrêtés

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Djarkpangan, Togo – Deux policiers, accusés d’avoir assassiné une vendeuse de boisson locale à Djarkpangan, ont été interpellés par les forces de l’ordre. Cette arrestation survient après plusieurs jours de recherches, consécutives à un avis lancé par la gendarmerie nationale.

Les faits, d’une extrême gravité, ont profondément choqué l’opinion publique togolaise. Selon les premiers éléments de l’enquête relayés par Communes-Infos, les deux agents auraient violemment agressé la commerçante à son domicile, avant de s’emparer de la somme d’un million de francs CFA. Ce montant est nettement supérieur aux 400 000 francs initialement rapportés.

Les policiers habitués des lieux

Les deux hommes étaient apparemment des habitués des lieux. Ils fréquentaient régulièrement le domicile de la victime pour consommer la boisson locale qu’elle préparait. Des témoins affirment les avoir vus sur place la veille du drame.

Les circonstances de l’agression, révélées en partie par des publications sur les réseaux sociaux, sont particulièrement atroces. Alors que la victime était en train de préparer de la sauce, elle aurait été attaquée par les deux hommes.

Frappée avec violence, elle serait tombée le visage dans le feu, ce qui aurait entraîné sa mort dans des conditions effroyables. Les agresseurs auraient ensuite pris la fuite avec l’argent de la commerçante.

Les suspects sont actuellement en garde à vue. Une enquête judiciaire est en cours afin de faire toute la lumière sur ce crime qui a provoqué une onde d’indignation à travers le pays.

Les autorités n’ont pas encore communiqué officiellement sur les suites judiciaires, mais les organisations de défense des droits humains appellent à une procédure exemplaire et à ce que justice soit rendue à la victime et à sa famille.

Joël D.

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