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Faits divers

Burkina Faso : Elle meurt après avoir bu pour de l’argent

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Burkina Faso
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Au Burkina Faso, une jeune femme d’une vingtaine d’années est décédée après avoir relevé un pari risqué. Elle devrait boire six canettes d’une boisson alcoolisée appelée Vody en un temps limité. En échange, un homme, surnommé Monsieur X, lui aurait promis 25 000 francs CFA.

Le défi a eu lieu dans un maquis, un endroit populaire pour se détendre. Après avoir bu, la jeune femme a perdu connaissance. Les personnes présentes pensaient qu’elle allait se réveiller, mais 24 heures plus tard, elle était toujours inconsciente. Elle a alors été emmenée à l’hôpital, où les médecins ont confirmé sa mort.

Vody interdite au Burkina Faso

La boisson Vody est interdite à la vente au Burkina Faso. Monsieur X, qui a lancé le pari, a été arrêté par la police. Une enquête est en cours.

Ce drame rappelle les dangers des défis dangereux et de la consommation excessive d’alcool. Il est aussi important de respecter les interdictions pour éviter ce genre de tragédie.

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Faits divers

Togo/dernières minutes : Le vendredi 2 mai déclaré férié, chômé et payé

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Togo
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Bonne nouvelle pour les travailleurs au Togo. Le gouvernement a annoncé ce mercredi 30 avril 2025, que la journée du vendredi 2 mai 2025 sera fériée, chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national. L’annonce est faite à travers un communiqué officiel.

Cette décision intervient dans un contexte de célébrations successives qui ont marqué le pays ces derniers jours.

Une commémoration au Togo

En effet, le pays vient de commémorer dans la ferveur populaire le 65ème anniversaire de son indépendance, célébré le dimanche 27 avril dernier. Une atmosphère de joie et de festivités qui a rassemblé les Togolais autour des valeurs de liberté et de souveraineté nationale.

À cela s’ajoute la traditionnelle fête du Travail, célébrée le 1er mai. Conscient de la fatigue accumulée et dans un esprit de continuité festive, l’exécutif a donc choisi d’accorder une journée supplémentaire de repos aux travailleurs.

En clair, les Togolais bénéficieront d’un long week-end prolongé, du jeudi 1er au dimanche 4 mai 2025, de quoi ravir les salariés du public comme du privé, et leur permettre de se ressourcer pleinement.

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Faits divers

Burkina-Faso: Traoré sous pression, la rue se mobilise ce 30 avril

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Burkina-Faso
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À Ouagadougou (Burkina-Faso), l’heure est à la mobilisation. Ce mercredi 30 avril 2025, des partisans du régime militaire ont prévu de se rassembler à la place de la Révolution. L’objectif est d’afficher leur soutien au capitaine Ibrahim Traoré, dans un climat politique tendu marqué par des soupçons de coup d’État et des tensions diplomatiques croissantes.

À l’initiative de la Coordination nationale de la veille citoyenne (CNAVC), plusieurs organisations de la société civile proches du pouvoir appellent les Burkinabè à se mobiliser « massivement » pour défendre ce qu’elles qualifient de combat pour la souveraineté nationale.

« Les menaces ne passent plus. Pour atteindre le président Ibrahim Traoré, il faut d’abord marcher sur le peuple burkinabè », a déclaré Ghislain Dabiré, porte-parole de la CNAVC, à l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Tentative de déstabilisation au Burkina-Faso

Ce rassemblement au Burkina-Faso intervient quelques jours après l’arrestation d’une dizaine de militaires, accusés d’avoir voulu renverser le régime.

Les autorités au Burkina-Faso pointent une manœuvre coordonnée depuis l’étranger, notamment la Côte d’Ivoire, soupçonnée d’abriter des figures impliquées dans des tentatives de déstabilisation. Des accusations que le gouvernement ivoirien juge infondées.

« J’attends encore les preuves de la dernière accusation », a réagi Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement ivoirien.

Mais la marche de mercredi ne vise pas seulement à réagir aux événements internes. Elle entend aussi répondre à certaines critiques internationales. Au cœur de la colère : des propos attribués au général américain Michael Langley, chef de l’US Africom.

Selon le ministère burkinabè des Affaires étrangères, il aurait mis en cause l’utilisation des ressources minières du pays et sa coopération avec la Chine, suggérant qu’elles profiteraient plus au régime qu’à la population. Une sortie jugée inacceptable par les autorités de Ouagadougou.

En écho à cette dénonciation, un sit-in devant l’ambassade des États-Unis est également prévu, pour « rejeter les propos inexactes » du général Langley et réaffirmer l’indépendance des choix stratégiques du Burkina Faso.

« Le 30 avril, nous allons prouver que le Burkina Faso n’est plus un État vassal. Il décide désormais librement de son avenir », affirme Ghislain Dabiré.

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Economie

Transactions suspectes : Un fils de Macky Sall convoqué pour une affaire de 125 milliards

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L’affaire des 125 milliards de francs CFA de transactions jugées douteuses, révélée par la CENTIF, progresse. Selon L’Observateur du lundi 28 avril, Amadou Sall, fils aîné de l’ancien président Macky Sall, a été convoqué par le Parquet financier. Il est attendu le 7 mai pour s’expliquer sur une opération portant sur 10 milliards de francs CFA.

Une partie de cette somme, sous forme de bons de caisse, a transité par le compte de la société Woodrose Investment Ltd, domicilié à la banque NSIA et géré par Ndèye Seynabou Ndiaye, également visée dans l’enquête.

Cette dernière a donné procuration à Amadou Sall pour gérer le compte, ce qui pourrait indiquer qu’il en est le bénéficiaire économique.

Transactions avec traçabilité

L’entourage d’Amadou Sall avance que l’origine de ces fonds provient de la vente d’un terrain offert par son père, une transaction qui a été conduite par le député-maire Farba Ngom.

Cela explique les mouvements financiers observés entre les comptes de sa société et celui de Woodrose Investment Ltd.

Toujours selon le quotidien, Amadou Ba et Karim Mbacké sont également convoqués dans le cadre de ce dossier.

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Faits divers

Trafics humains : des togolais exploités dans une fausse filière vers le Canada

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trafics humains
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Un vaste réseau de trafics humains a été démantelé en Côte d’Ivoire, grâce à une série de descentes policières coordonnées avec le soutien d’Interpol. Triste reflet d’un phénomène grandissant en Afrique de l’Ouest. Au total, 33 ressortissants ouest-africains, dont plusieurs togolais, ont été secourus après avoir été piégés par des recruteurs véreux leur promettant des emplois fictifs au Canada.

Les victimes, originaires du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana et du Togo, ont été attirées par des offres alléchantes de migration professionnelle. Selon un communiqué publié mardi par Interpol, ces personnes ont versé jusqu’à 9 000 dollars chacune pour obtenir des documents et assurances de départ. Mais une fois en Côte d’Ivoire, elles ont été réduites au silence, exploitées, et contraintes à participer activement à l’escroquerie.

Le stratagème du réseau reposait sur une mise en scène élaborée : les victimes étaient forcées de fréquenter des lieux huppés hôtels, restaurants, centres commerciaux pour alimenter des récits fictifs de réussite au Canada, diffusés ensuite sur les réseaux sociaux. Le but : tromper d’autres jeunes candidats à l’exil, en quête d’une vie meilleure à l’étranger.

« Les trafiquants allaient jusqu’à restreindre les communications avec les familles pour maintenir l’illusion. C’était une exploitation psychologique aussi bien que physique », indique Interpol.

Trafics humains, phénomène grandissant

L’affaire a éclaté en février dernier, après que le père de deux jeunes Ghanéens portés disparus a alerté les autorités locales. Une opération conjointe entre les forces de sécurité de la Côte d’Ivoire et du Ghana a alors permis d’identifier le lieu de détention et de mener à bien l’intervention

Youssouf Kouyaté, directeur général de la Police nationale de Côte d’Ivoire, a salué cette opération contre les trafics humains, comme un exemple de coopération régionale efficace. Il a également rendu hommage aux victimes pour leur courage et leur rôle décisif dans le démantèlement du réseau.

Les personnes libérées ont été prises en charge par une ONG spécialisée, qui leur fournit un soutien psychologique et une aide à la réinsertion.

l’Interpol a rappelé que ces trafics humains, type d’escroquerie, à mi-chemin entre traite humaine et cybercriminalité, gagne du terrain dans la région.

En 2024, plus de 300 arrestations liées à des réseaux similaires ont été enregistrées.

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Togo/Révision électorale : 2 agents exclus pour escroquerie dans la zone 3

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Révision électorale
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Au Togo, la révision électorale se poursuit à l’intérieur du pays. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) continue également sa mission de transparence et d’intégrité dans le cadre du processus de révision des listes électorales. Deux agents, Komi Able, agent technique (F90042) affecté au Hub de Kara, et Marcus Koboyoo Palanga, opérateur de saisie (OP14832) affecté à la CELI de la Binah, ont été formellement exclus du processus dans la zone 3.

Cette décision, rendue publique ce week-end en pleine révision électorale, fait suite aux résultats d’enquêtes internes menées par les services techniques de la CENI, qui ont conclu à des actes d’escroquerie et de complicité d’escroquerie de la part des deux agents.

Dans une note officielle, le président de la CENI, Dago Yabre, a instruit les responsables concernés notamment le président de la sous-commission des opérations électorales, le coordonnateur du Centre national de traitement des données (CNTD), la SNEDAI (Société nationale d’édition des documents administratifs et d’identification) et le président de la CELI de la Binah de veiller scrupuleusement à l’exécution immédiate de la mesure d’exclusion.

« Il est impératif de préserver l’intégrité du processus électoral. Toute dérive, aussi minime soit-elle, sera sanctionnée avec rigueur », a rappelé un membre du bureau exécutif de la CENI sous couvert d’anonymat.

Cette exclusion en pleine révision électorale n’est pas un cas isolé. Il y a quelques semaines, un autre agent, Atayevi Kadja, opérateur de saisie, avait déjà été écarté pour comportement indélicat et insubordination.

Révision électorale sans tolérance

La CENI semble ainsi vouloir marquer une rupture claire avec toute forme de légèreté ou de mauvaise foi dans la gestion du processus électoral, dans un contexte national où la crédibilité des opérations électorales reste un enjeu crucial.

Transparence, discipline et responsabilité sont désormais les mots d’ordre qui encadrent le travail des agents impliqués dans la révision des listes.
Cette décision vient renforcer le message selon lequel aucune tolérance ne sera accordée aux manquements, quel que soit le niveau de responsabilité des individus concernés.

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