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Société

Recensement biométrique : fin des enregistrements le 19 juin dans le Golfe

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Recensement biométrique
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La campagne nationale de recensement biométrique se poursuit dans la préfecture du Golfe, avec une date limite fixée au mercredi 19 juin 2025. Les autorités rappellent à tous les habitants l’importance de se faire enregistrer à temps pour obtenir leur Numéro d’Identification Unique (NIU), un outil essentiel pour accéder aux services publics et administratifs.

Lancée il y a un peu plus d’une semaine, le recensement biométrique connaît une bonne dynamique dans les différents centres d’enrôlement.

Au total, près de 600 centres sont ouverts dans les communes de la préfecture pour accueillir les citoyens.

L’enrôlement est gratuit et concerne toute personne âgée d’au moins 5 ans, même sans pièce d’identité.

L’objectif est de permettre à chaque citoyen d’avoir une identité numérique sécurisée, facilitant l’accès à des services essentiels comme la santé, l’éducation, ou encore les démarches administratives.

Recensement biométrique: inscrivez-vous en ligne

Une préinscription en ligne est également possible via une plateforme dédiée, pour gagner du temps lors du passage dans un centre.

Après l’enregistrement, chaque personne reçoit un QR code personnel et son NIU dans un délai de 24 à 48 heures.

Ce processus s’inscrit dans le cadre du projet e-ID Togo, piloté par l’Agence nationale d’identification (ANID), avec le soutien de l’INSEED et de la Banque mondiale, à travers le programme WURI.

À un mois de la fin de la campagne, les autorités appellent les populations du Golfe à ne pas attendre les derniers jours pour s’enrôler.

Le 19 juin est la date butoir à ne pas manquer pour bénéficier de cette démarche utile et structurante pour l’avenir numérique du pays.

Joël D.

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Environement

Océans en danger : l’ONU alerte sur une menace mondiale grandissante

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ONU
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Le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres, a lancé ce mardi un appel urgent à tous les États pour qu’ils agissent ensemble face aux menaces croissantes en mer.

Lors d’un débat du Conseil de sécurité consacré à la sécurité maritime, il a rappelé que les océans sont essentiels à la vie humaine.

Ils fournissent une grande partie de l’oxygène que nous respirons, soutiennent la biodiversité, permettent le commerce international et créent des millions d’emplois.

Selon le secrétaire général de l’ONU, sans sécurité en mer, il ne peut pas y avoir de sécurité dans le monde.

Après une baisse en 2024, les actes de piraterie repartent à la hausse en 2025. L’Organisation maritime internationale (OMI) indique que les attaques ont augmenté de près de 50 % par rapport à l’année précédente.

En Asie, le nombre d’incidents a presque doublé. Les régions les plus touchées sont le détroit de Malacca, celui de Singapour, la mer Rouge, le golfe d’Aden et le golfe de Guinée.

Dans ces zones, on observe de nombreuses activités illégales : trafic de migrants, pêche illégale, contrebande de pétrole, d’armes et de drogues.

Antonio Guterres a aussi alerté sur l’importance des réseaux criminels internationaux, qui utilisent les routes maritimes pour transporter de la drogue, comme l’héroïne venant d’Afghanistan par l’océan Indien vers l’Afrique, ou la cocaïne des Amériques vers l’Europe.

À ces dangers s’ajoute une menace plus récente : les cyberattaques visant les ports et les compagnies maritimes.

L’ONU et ses approches de solution

Pour faire face à cette situation, le secrétaire général propose d’agir dans trois domaines. D’abord, respecter le droit international, comme la Charte de l’ONU et la Convention sur le droit de la mer, ensuite, s’attaquer aux causes profondes de l’insécurité maritime, enfin, renforcer les coopérations entre pays et organisations.

Il a conclu en appelant à une mobilisation internationale plus forte pour protéger les océans, car leur sécurité est essentielle pour la paix, la stabilité et le développement dans le monde.

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Divertissement

Togo/Média : Claudy Siar quitte RFI et France 24 pour New World TV

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Claudy Siar
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Claudy Siar, après de longues années passées à informer et divertir sur RFI et France 24, tourne une page importante de sa vie professionnelle. Le journaliste et animateur bien connu a annoncé ce week-end sur ses réseaux sociaux son départ de ces deux grands médias pour se lancer dans un nouveau projet 100 % africain.

Figure engagée et passionnée, Claudy Siar est depuis toujours un défenseur de l’Afrique et de sa diaspora. Il a souvent utilisé sa voix pour valoriser les cultures africaines, lutter contre les stéréotypes et donner la parole à ceux qu’on entend peu. Ce changement de cap s’inscrit dans cette même logique.

Claudy Siar et sa nouvelle aventure à NewWorld TV

Claudy Siar rejoint désormais NewWorld TV, un groupe audiovisuel togolais en pleine croissance. Ensemble, ils préparent le lancement de deux nouvelles chaînes panafricaines : NewWorld Mix et NewWorld Muzik.

Au programme : des séries africaines, de la musique, des débats, des talk-shows et des émissions culturelles.

L’objectif est de mettre en lumière les talents, les histoires et les réalités du continent.

« L’Afrique doit raconter elle-même ses propres histoires », a-t-il écrit dans un message empreint d’émotion.

Pour lui, cette nouvelle aventure est l’occasion de continuer à faire ce qu’il aime, tout en participant à la construction d’un média africain libre et ambitieux.

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Politique

Togo/municipales : quand la course cale au départ

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municipales
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Municipales 2025 – Lors de la 20e séance du Cadre permanent de concertation (CPC), tenue ce lundi à Lomé, plusieurs partis politiques ont proposé le report des élections municipales, initialement prévues pour le 10 juillet 2025. Cette demande s’inscrit dans un ensemble de préoccupations exprimées par les membres du CPC en vue d’une meilleure organisation du scrutin.

Les responsables politiques estiment que les conditions actuelles ne permettent pas à tous les partis d’être prêts, notamment en ce qui concerne les difficultés liées à l’obtention des certificats de résidence, indispensables pour déposer les candidatures.

Plusieurs candidats se heurtent à des montants jugés excessifs exigés par certains maires pour la délivrance de ces documents, en raison d’une mauvaise interprétation des textes en vigueur.

Autre point soulevé, la nécessité de réduire le montant de la caution à verser pour faire acte de candidature, une mesure qui permettrait, selon eux, de faciliter la participation, notamment celle des femmes.

Les partis ont également appelé à une recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), dont certains membres actuels sont en fin de mandat. Ils estiment qu’un renouvellement de cette institution contribuerait à renforcer la transparence du processus électoral.

S’exprimant à l’issue des discussions, le président du CPC, Me Mouhamed Tchassona Traoré, a indiqué que toutes les propositions seront transmises aux autorités compétentes.

« Nous attendons des réponses positives qui puissent satisfaire l’ensemble des formations politiques, désireuses de participer activement aux prochaines élections municipales », a-t-il déclaré.

Le ministre de l’administration territoriale, Hodabalo Awaté, a assuré que les conclusions de la séance seront prises en compte dans le respect des institutions républicaines, tout en appelant les acteurs politiques à travailler dans un esprit de dialogue et de respect des lois.  

… Municipales 2025 …

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Education

Togo : les députés formés à une meilleure collaboration avec la société civile

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Une journée d’échanges et de renforcement de capacités a réuni à Lomé ce mardi 20 mai 2025 une trentaine de députés membres des 9 commissions permanentes de l’Assemblée nationale. Objectif : réfléchir à des moyens concrets d’intégrer les organisations de la société civile (OSC) dans le travail parlementaire, notamment dans le suivi et le contrôle de l’action gouvernementale. Les travaux s’inscrivent dans le cadre du projet « Des législatures inclusives pour des politiques sensibles au genre ».

Organisée conjointement par le Centre parlementaire canadien et le Centre africain des affaires parlementaires, cette session vise à renforcer l’engagement des élus pour une gouvernance plus participative et plus ouverte aux citoyens.

À travers des présentations et des discussions interactives, les députés ont exploré différentes pistes pour collaborer efficacement avec les OSC.

Le premier module de formation, animé par le sociologue et consultant Bernard Bokodjin, a porté sur l’importance et les défis de l’implication des OSC dans le contrôle parlementaire de l’exécutif. Il a rappelé que ce contrôle est essentiel pour assurer la transparence, la redevabilité et le bon fonctionnement des institutions.

Selon lui, les organisations de la société civile peuvent jouer un rôle clé en fournissant des informations issues du terrain, en menant des actions de plaidoyer, en participant à l’élaboration des lois, et en facilitant le dialogue entre élus et citoyens. Il a également présenté des exemples inspirants du Rwanda, du Kenya, de l’Espagne et de l’Afrique du Sud, où la coopération entre parlementaires et OSC a produit des résultats concrets.

Le deuxième module, consacré aux approches innovantes, a permis aux députés d’identifier plusieurs leviers pour renforcer la participation des OSC.

Dialogue entre les députés et les OSC

Parmi les solutions proposées figurent la création de cadres formels de dialogue entre les commissions parlementaires et les OSC, et l’envoi des projets de loi aux OSC pour avis ou recommandations. Ainsi que l’organisation de séminaires conjoints pour réfléchir ensemble aux priorités nationales, la mise en place d’une plateforme numérique permettant une interaction continue, et la participation directe des OSC à certains travaux parlementaires.

Les députés ont aussi insisté sur l’importance de former les OSC pour qu’elles puissent mieux comprendre leur rôle dans la gouvernance et s’y engager de manière constructive.

Cette session a été largement saluée par les participants pour sa richesse en contenu et la qualité des échanges. Elle a permis aux parlementaires de mieux comprendre les enjeux de la collaboration avec la société civile, dans un contexte où les citoyens attendent de plus en plus de transparence, de redevabilité et d’efficacité dans l’action publique.

À travers ce type d’initiative, l’Assemblée nationale du Togo confirme sa volonté d’être un Parlement moderne, inclusif et à l’écoute, capable de s’appuyer sur la société civile pour mieux répondre aux attentes des populations.

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Politique

Parlement de la CEDEAO : 1ère session ordinaire, cap sur l’intégration régionale

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La première session ordinaire de l’année 2025 du Parlement de la CEDEAO s’est ouverte ce mardi 20 mai à Abuja, au Nigéria. La cérémonie d’ouverture a été présidée par Hadja Mémounatou Ibrahima, présidente de l’institution, en présence de plusieurs personnalités, dont le président du Sénat nigérian, Godswill Akpabio, et le président de la Commission de l’organisation, Dr Omar Alieu Touray.

Le parlement et l’intégration régionale

Cette session, qui se tient du 20 au 31 mai, vise à examiner et adopter les rapports issus des récentes activités parlementaires et à renforcer la réflexion sur l’intégration régionale. Elle s’inscrit dans un contexte symbolique, marqué par les 50 ans de la CEDEAO et les 25 ans du Parlement communautaire.

Dans son allocution, Hadja Mémounatou Ibrahima a salué les efforts des fondateurs de la CEDEAO et exprimé la gratitude du Parlement envers le président nigérian Bola Ahmed Tinubu pour son soutien.

Elle est revenue sur les principales activités menées cette année, notamment le séminaire de Lagos en mars sur l’avenir de l’intégration régionale, et deux réunions délocalisées à Banjul et à Lomé, consacrées respectivement au retrait de certains États membres et aux défis du transport aérien en Afrique de l’Ouest.

La session permettra également de faire le point sur les participations internationales du Parlement, dont celles à Tashkent, Séoul, Brazzaville, Rabat et au Forum de Crans Montana.

La présidente a réaffirmé l’engagement des représentants des peuples à œuvrer pour une organisation sous-régionale plus intégrée, stable et prospère.

Joël D.

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